Décodage des outils dentaires

Décodage dentaire : outil à remonter le temps

Grâce au clavier dentaire, chacun dispose d’une connexion directe et instantanée avec son propre inconscient. La dent qui s’abîme ou fait mal est une alarme qui s’allume sur le tableau de bord de la psyché. Chaque dent délabrée ou soignée est la cicatrice laissée par une blessure d’enfance. En observant l’état de ses dents, on peut remonter le temps et retrouver les étapes mal vécues de son histoire personnelle. À chaque dent qui s’abîme dans le présent, correspond une souffrance réactivée du passé qu’il nous est donné de reconnaître et de libérer.

Bouche et dents : cibles privilégiées de somatisation

Dotée d’une résonance symbolique forte, la bouche est la zone sensorielle la plus développée à la naissance. Suivent les premières poussées dentaires qui y ancrent à jamais des émotions puissantes. Porte de la vie, la bouche est aussi une porte ouverte sur l’inconscient. Caries, déchaussement et autres problèmes dentaires ont une forte résonance psychosomatique. De nombreuses études (voir bibliographie du Pratikadent) ont établi un lien direct entre niveau de stress et taux de caries. Celles-ci s’expliquent d’ailleurs par un mécanisme biologique qui fait le lien entre stress et caries. Les personnes anxieuses ou dépressives souffrent davantage de problèmes de déchaussement. Les manifestations buccales du stress incluent les lésions qui affectent la muqueuse orale (joues, langue, lèvres, palais). Les aphtes ou encore les gingivites, sont des manifestations du stress et d’une contrariété. De même, les mâchoires cristallisent les tensions à travers les grincements de dents ou la manie de les serrer.

Décodage dentaire : la dent du rayonnement

Par exemple, une incisive centrale du haut soignée est le signe d’une dévalorisation ressentie dans l’enfance, par rapport au regard du père (côté gauche) ou de la mère (côté droit. Droite et gauche : voir le chiasma dentaire). L’incisive centrale du haut est la dent du rayonnement. Avoir un pansement sur cette dent montre que l’on est porteur d’un manque de reconnaissance de sa propre valeur par son père ou sa mère. Lorsqu’une carie survient, elle indique que le manque est réactivé dans notre vie d’adulte. Cette fois, ce n’est plus le regard du parent qui est en cause, mais celui du conjoint, de l’ami(e), du supérieur hiérarchique ou encore du mentor qui joue le rôle d’un père ou d’une mère symbolique. Soigner la carie en conscience est l’occasion de panser cette plaie d’enfance et de reconstruire en profondeur l’image de soi autrefois mise à mal.

Langage des dents : le clavier dentaire

Plus que de simples meules broyeuses, les dents sont embryologiquement et anatomiquement des prolongements du cerveau. Véritables antennes sensibles, elles sont les trente-deux touches d’un clavier, directement connecté à l’ordinateur central cérébral par le nerf trijumeau. Chaque touche du clavier dentaire renvoie à une facette de la personnalité, à une qualité ou énergie spécifique que symboloise son nom. Plus encore, chaque dent nous connecte à une période précise de l’enfance. En effet, durant la période de formation de la dent, le germe dentaire, enfoui dans l’os, se comporte comme une cire vierge où s’impriment les états émotionnels. Les séquences d’éruption dentaire décrivent les phases de construction de la personnalité. Chaque dent est le témoin fidèle d’une période de l’enfance. Considérées dans leur ensemble, nos trente-deux dents décrivent l’intégralité de notre parcours.

Décodage dentaire, outil d’évolution personnelle

Ainsi une banale carie peut nous donner accès à une charge émotionnelle présente dans l’inconscient depuis de nombreuses années. Le soin dentaire, dont il n’est pas question de se passer, est l’occasion de se libérer des blocages et souffrances qui nous minent à notre insu. On peut également faire ce travail par rapport à une dent déjà soignée qui représente une sorte de cicatrice. Travailler sur les cicatrices dentaires que sont les dents obturées, dévitalisées ou extraites, grâce à l’analyse psychodentaire établie à partir d’une radio panoramique, est un processus qui permet à la fois de se découvrir en remontant le fil de sa propre histoire et de se libérer des charges qui alourdissent notre psychisme et entravent notre joie de vivre. Il s’apparente à une véritable catharsis. On en ressort plus conscient, plus joyeux et plus libre.

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Pourquoi les dents peuvent se desserrer

Déchaussement et langage des dents

Pour le langage des dents ou décodage dentaire, chaque atteinte (carie, abcès, etc.) possède une tonalité émotionnelle spécifique. Quelle est celle du déchaussement ? L’élément le plus spectaculaire par lequel se manifeste le déchaussement est la perte progressive de l’assise ou support osseux de la dent qui conduit à sa mobilité. Les dents finissent par bouger, vacillent sur leur base. Une personne qui chancelle sous le poids de charges trop lourdes à porter, telle est la situation mise en scène par le déchaussement. Voyez un haltérophile qui soulève une charge qui dépasse ses capacités de résistance, il titube sous le poids excessif, chancelle et finit par lâcher et s’écrouler. Les dents qui se déchaussent montrent exactement la même réalité et envoient le message que la personne croule sous un poids excessif accumulé sur ses épaules. Bien entendu, il ne s’agit pas d’un poids physique, comme dans le cas de l’haltérophile, mais d’un poids psychique qui accable de plus en plus au fil du temps et finit par déborder les capacités de résistance. « Je n’en peux plus, c’est trop lourd à supporter ! » crie le corps à travers le déchaussement.

Limites de l’approche conventionnelle du déchaussement

L’approche de la dentisterie classique se focalise sur les bactéries responsables de l’inflammation des gencives, puis de l’infection et de la fonte du support osseux de la dent. En médecine comme en dentisterie conventionnelle, la stratégie thérapeutique déploie ses efforts dans le but d’éradiquer le microbe (prise d’antibiotiques par voie générale, désinfection locale par irrigation, brossage des dents par un dentifrice ou un mélange aux propriétés antibactériennes). Remplacer les antibiotiques classiques par des antibiotiques « naturels »,comme les huiles essentielles par exemple, ne change rien au fond du problème car on reste dans une approche centrée sur l’agent extérieur, le microbe ou ennemi à combattre, au détriment des facteurs liés au terrain, c’est à dire à la personne elle-même. S’attaquer au microbe est utile, mais n’a que des résultats limités si on ne prend pas en compte les facteurs internes liés au psychisme.

Traitement du déchaussement : approche globale

Le traitement doit prendre en compte la dimension psycho-émotionnelle du déchaussement, ce qui ne dispense pas de faire pratiquer les soins locaux nécessaires, sans oublier les facteurs physiques, dont l’alimentation, l’hygiène locale, l’hygiène de vie, qui jouent un rôle important, comme détaillé dans le Pratikadent (également disponible sous forme de livre numérique), à la rubrique Déchaussement. Dans le cas de Christine, une antibiothérapie associée à une désinfection locale n’ont pas suffi à stopper la maladie. Le poids des soucis et des épreuves est d’autant plus lourd à porter qu’on se sent seul et que les charges émotionnelles ne sont pas clairement identifiées. Aussi, l’aide psychothérapeutique prend-t-elle une part décisive dans le processus thérapeutique global. Pouvoir verbaliser ses soucis, dire son chagrin ou crier sa colère face à l’écoute bienveillante d’un tiers, sont autant de moyens qui permettent d’alléger le poids des épreuves. La capacité de verbaliser ses émotions, propre à l’homme, a d’abord cette fonction, ne l’oublions pas et surtout, pensons à nous en servir.

Le déchaussement vu par le décodage dentaire

Une autre manière d’aborder le problème est de se demander : qu’est-ce qui fait qu’à un moment donné de ma vie, ce microbe se met à proliférer dans ma bouche et conduit à la perte de mes dents ? Si ce microbe prolifère, c’est que quelque part, le corps ou hôte le lui permet, l’accueille en quelque sorte, lui fournit la nourriture et les conditions (acidité, température, manque de défenses immunitaires locales) pour qu’il se développe. Un facteur essentiel de survenue d’une maladie parodontale est le psychisme. De très nombreuses études et observations cliniques ont mis en évidence le lien entre déchaussement et stress, à tel point qu’on se demande pourquoi ce fait reste encore à ce point dénié aujourd’hui et ce facteur si peu pris en compte.

Un cas de déchaussement : le poids des épreuves

La charge psychique qui écrase la personne dont les dents se déchaussent, peut revêtir bien des aspects, dont celui des épreuves infligées par la vie. Il arrive en effet que la vie malmène à un point tel que la personne finisse par chanceler sous le poids des événements qu’elle doit endurer. Le déchaussement d’une ou plusieurs, voire de toutes les dents, en est la conséquence. C’est le cas de Christine dont les premiers signes du déchaussement commencent à se manifester pendant la maladie de son époux, maladie qui lui sera fatale. Malheureusement, ce décès marque pour Christine le début d’une longue série d’épreuves, familiales, financières et professionnelles. C’est pour Christine un long chemin de croix jalonné par le déchaussement et la perte progressive de ses dents dont le déchaussement s’étend et s’aggrave de plus en plus à mesure que les épreuves s’accumulent.

Décodage personnel du déchaussement

Si le cas de Christine, évoqué plus haut, est exemplaire, pour autant, il ne résume pas la signification du déchaussement mais en éclaire une facette. Il convient de décoder au cas par cas en prenant en compte les autres lésions dentaires et le contexte particulier propre à chacun : le déchaussement de la mère de famille n’est pas le même que celui du cadre stressé, encore différent de celui du retraité, lui-même différent du déchaussement de l’enfant, rare mais au caractère spéctaculaire (parodontite aigüe juvénile).
Un moyen d’éclairer sa problématique personnelle est de faire appel à l’analyse psychodentaire établie par Estelle Vereeck à partir d’une radio panoramique. L’analyse psychodentaire permet d’avoir une vision globale du problème de déchaussement à la lumière de son histoire personnelle.

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Analyse psychodentaire les avantages

L’analyse psychodentaire est une voie directe vers soi pour tous ceux qui osent et sont prêts à l’emprunter.

Analyse psychodentaire : révélations surprenantes du décodage dentaire

En écoutant le petit enfant qui vit toujours en nous et parle à travers nos dents, on peut avoir quelques révélations et aussi quelques surprises. De nombreux mécanismes de défense qui sont autant de voiles ou de résistances, ont été déposés par le mental sur la souffrance première de l’enfant pour justement ne plus souffrir, ne plus voir, ne plus ressentir la blessure primordiale inscrite entre zéro et trois ans.

Par exemple, une femme qui n’a jamais eu que des rapports distants avec sa mère et se pense détachée d’elle pourrait découvrir qu’en réalité la petite fille en elle est restée en fusion avec la figure maternelle, prisonnière d’une quête d’amour impossible à obtenir. Dès lors, elle réalisera que son détachement est une posture destinée à ne pas ressentir l’énorme besoin d’amour maternel non satisfait. Au passage, elle comprendra pourquoi, en dépit de tous ses efforts, elle ne parvient pas à devenir maman elle-même. Comment devenir mère quand on est restée une petite fille assoiffée d’amour ?

Autre exemple, cet homme qui depuis l’adolescence est en révolte contre ses parents et se pense affranchi de leur autorité pourrait découvrir qu’il est en réalité au plus profond de lui en fidélité totale avec eux et que son comportement « de surface » n’est qu’une réaction destinée à masquer l’obéissance totale dans laquelle il se trouve par rapport à eux.

Analyse psychodentaire : incomparable outil

L’analyse psychodentaire délivre des informations essentielles. C’est un raccourci extraordinaire qui condense autant d’informations que celles que pourraient apporter dix ans d’analyse ou de travail sur soi. Pour autant, ce n’est qu’un début. Si elle fait gagner du temps en ciblant l’essentiel, l’analyse psychodentaire ne remplace pas le travail sur soi. Seule ou accompagnée, la personne doit ensuite travailler ce matériau qui lui est donné, s’approprier les informations en les mettant en perspective, à la fois avec son vécu passé et ses comportements présents. Ce travail mené sur la base de l’analyse psychodentaire lui permettra de comprendre comment, par quels mécanismes de réaction, de compensation et d’adaptation, elle est devenue celle qu’elle est ou croit être aujourd’hui.

Analyse psychodentaire et noyau de la personnalité

Porte d’accès privilégiée à l’inconscient, l’analyse psychodentaire permet d’accéder d’emblée et sans détours au plus fondamental de l’être. La radio panoramique révèle le noyau secret de notre personnalité, structure la plus profonde qui s’est construite sur les trois premières années de notre vie. Ce sont donc les blessures, carences et croyances du tout petit enfant qui se révèlent grâce à cette analyse. Le décodage dentaire nous plonge au cœur de notre structure, nous ramène là où tout à commencé, aux racines de notre personnalité, là où s’est joué, à travers nos parents, notre rapport au monde. Le diagnostic psychodentaire révèle le squellette de la personnalité, fait de croyances modelées par un vécu si ancien qu’elles sont profondément enfouies dans l’inconscient.

Au cœur de soi par l’analyse psychodentaire

L’analyse d’une panoramique par l’analyse psychodentaire mène directement au cœur de soi. C’est son avantage et son défaut. Il faut être prêt à réaliser qu’on est peut-être pas celui ou celle qu’on croyait être et que les comportements qui font notre personnalité, sont des strates construites sur un schéma beaucoup plus profond, cristallisé au cours des trois premières années de la vie, partie immergée de l’iceberg inaccessible à la conscience et donc totalement inconnue de nous. Pour bénéficier d’une telle analyse, il faut être prêt à lâcher les a priori qu’on a sur soi et à renverser la vision de qui on pense être.

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analyse psychodentaire à regarder les enfants

Sans attendre, dès que les problèmes se posent : caries, dents mal implantées. Plus on agit tôt, moins les problèmes ont le temps de cristalliser en profondeur.

Dans l’idéal, une analyse psychodentaire sera faite avant l’âge de douze ans. En effet, avant cet âge, les parents pourront par leur influence aider l’enfant à s’épanouir au mieux de ses potentialités. En revanche, après l’âge de douze ans, l’enfant entre dans la période adolescente, l’influence des parents décroît et il est souvent trop tard pour corriger efficacement ce qui a été mal engagé. Cela ne signifie pas qu’on ne peut plus rien faire mais les possibilités d’agir sont limitées.

Décodage dentaire des caries

Qu’elle touche l’adulte ou l’enfant, la carie n’est jamais un phénomène anodin et le sucre est loin de tout expliquer. L’analyse de la localisation élective des caries met au jour les manques et les souffrances que l’enfant exprime ainsi parce qu’il ne peut les verbaliser. Ainsi, dès le stade des dents de lait, il est possible de décoder l’emplacement des caries et de répondre par une attitude adaptée : être davantage présent dans le domaine de vie concerné, sécuriser l’enfant, l’ouvrir davantage sur le monde, etc.

Le décodage dentaire des caries se fait à partir d’une radio panoramique dentaire.

Analyse psychodentaire pour un enfant

Une analyse psychodentaire pour son enfant permet d’identifier les manques et les problématiques qui s’inscrivent très tôt, parfois dès la conception dans la structure dentaire.

Destiné à informer les parents et à les rendre plus conscients des besoins véritables de l’enfant, l’analyse psychodentaire permet, par une attitude adaptée, d’éviter que la problématique ne cristallise définitivement dans la personnalité en devenir. L’analyse psychodentaire est un outil sans égal pour accompagner son enfant en conscience sur le chemin de son évolution et l’aider à grandir.

Décodage des malpositions dentaires

Les malocclusions, malpositions dentaires, dent qui se chevauchent, etc., s’inscrivent dans un contexte de mâchoires étroites et ne doivent elles non plus rien au hasard. Les malpositions révèlent des souffrances ou des manques engrammés profondément et souvent hérités des parents. Touchant la structure de l’enfant, les dents mal implantées montrent comment l’enfant s’est construit et quelles stratégies il a développé pour parvenir à exister dans un milieu qui ne répond pas à ses besoins fondamentaux. Il est précieux pour les parents de comprendre ces manques en même temps qu’un traitement d’orthodontie, si possible fonctionnel et non mutilant*, est entrepris. Celui-ci peut alors pleinement porter ses fruits, tant sur le plan de l’alignement dentaire que sur le plan psychologique.

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Maux de dents régler l’horloge biologique

Rage de dent et chronobiologie

La chronobiologie ou chronothérapie est l’art d’administrer un médicament ou une substance active en tenant compte des rythmes circadiens du corps (rythmes sur 24 heures), à un moment où celui-ci est capable de la métaboliser au mieux. Le but est d’optimiser l’efficacité du soin ou du médicament.

D’après des études, pour une anesthésie, le meilleur créneau horaire se situe en début d’après-midi entre 14 et 15 heures. L’action de l’anesthésiant est alors plus rapide, plus efficace tout en exigeant des doses plus faibles. Les effets se dissipent alors plus rapidement et permettent au patient de s’alimenter normalement le soir.

Si une rage de dent vous contraint à prendre rendez-vous en urgence, insistez pour être reçu en début d’après-midi. Par chance, c’est un créneau horaire où le dentiste est relativement plus disponible, la fin d’après-midi étant beaucoup plus chargée.

Les dentistes qui souhaitent mettre à profit la chronobiologie, ont intérêt à programmer les interventions délicates en début d’après-midi et réserver cette plage horaire à la programmation des urgences.

Rage de dent et anesthésie

Bien entendu, pas question d’intervenir sans anesthésie. Or, en cas de rage de dent, l’inflammation du nerf, responsable des maux de dents, rend plus difficile la diffusion de l’anesthésiant. Autant mettre toutes les chances de son côté en choisissant le bon créneau horaire. En effet, des études ont montré que le produit anesthésiant diffuse plus ou moins bien selon le moment de la journée où il est administré.

Injecté le matin ou en fin d’après-midi (vers 19 heures), la sédation obtenue est peu efficace, exige des doses plus importantes avec pour conséquence l’anesthésie prolongée d’une partie du visage ou de la lèvre en cas d’anesthésie loco-régionale (tronculaire).

Rage de dent ou pulpite

Encore appelée pulpite, terme qui signifie inflammation aigüe de la pulpe ou nerf de la dent, la rage de dent se traduit par des douleurs les plus aigües et les plus insupportables qui soient. Excepté le froid qui peut apporter un soulagement du mal de dent au plus fort de la crise, seule l’intervention en urgence du dentiste peut calmer les douleurs paroxystiques de la rage de dent.

Rage de dent et techniques adjuvantes

Les personnes qui redoutent la piqûre ou la douleur chez le dentiste peuvent bénéficier d’une prise en charge par la sophrologie, l’hypnose ou la technique EMDR. Une préparation adéquate permet au patient d’aborder plus sereinement le soin en rendant l’anesthésie plus efficace. N’hésitez pas à vous faire aider.

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Douleur orthodontique n’est pas normal

Orthodontie : la douleur n’est pas normale

La douleur survenant au cours d’un traitement d’orthodontie est un signal qui n’est pas pris en compte par les orthodontistes. C’est regrettable car il alerte sur le fait que le seuil de tolérance physiologique a été dépassé. Diverses complications irréversibles peuvent en découler sur les structures dentaires, osseuses et articulaires.

Orthodontie et douleur : bien choisir son calmant

En orthodontie, bien choisir son calmant ou analgésique peut s’avérer déterminant dans les résultats du traitement. En effet les molécules aux propriétés analgésiques ont également la capacité d’inhiber la sécretion de prostaglandines (médiateurs chimiques) avec des conséquences sur le déplacement des dents.

Une étude* a montré que les analgésiques de la classe des anti-inflamamtoires non stéroïdiens (aspirine et ibuprofène) inhibent la sécrétion des prostaglandines et freinent de ce fait les déplacements orthodontiques. En revanche, l’acétaminophène ou paracétamol n’affecte pas les mouvements dentaires tels qu’expérimentés chez le rat.

C’est donc cette dernière molécule qui devrait être privilégiée pour soulager les douleurs occasionnées par les traitements orthodontiques.

Eau Florale de Camomille

À l’aide de votre petit doigt, massez doucement la gencive douloureuse avec de l’eau florale de Camomille noble . À renouveler selon le besoin.

Mélange oléo-aromatique

Il vous est également possible de préparer la combinaison oléo-aromatique suivante, en respectant scrupuleusement les dosages indiqués :

1 goutte HE Laurier noble
+ 1 goutte HE Clou de Girofle
+ 20 gouttes d’huile végétale de Sésame.

Versez 2 gouttes du mélange sur votre petit doigt puis massez la gencive 3 fois par jour.

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